#1: Le dragon de l'Antre noire (Rp)

-De un, j'approuve pour ce qui est des écailles de dragons. Ma cuirasse m'a sauvé la vie par deux fois. De deux, si je vous suit, ce n'est pas parce que je vous aime vous, aucun d'entre vous. De trois, n'allez surtout pas croire que j'ai un quelconque intérêt pour la gloire ou l'or. Ce qui me motive est bien plus profond que cela. Il faut bien des hominideés pour être attirés soit par l'or ou par la gloire... Mais bref, je respecte votre choix. Et de quatre, j'aurais une question pour vous, Marad. Comment une branche, si immense et pointue soit-elle, puisse-être venu à bout du cuir du poitrail d'un minautore? Surtout que le coeur a une double protection avec le sternum!

-moi je m'en fiche de l'honneur ou de l'or, tous se que je veux c'est voir le dragon! y'a plein de mythe et de légende sur les dragon et je veux voir si il sont vrai.

-Je vous propose de dormir dans cette auberge. Il se fait tard, et les routes sont devenues dangereuses depuis quelque temps... Même celles les plus fréquentées. On repartira tôt demain matin, dès l'aurore. En attendant, je vous suggère de bien vous reposer et de ne pas trop fêter, car la route est longue encore. Il est aussi plus prudent de ne pas trop se faire remarquer, pour le moment. Disons qu'un groupe composé d'un Kobold accompagné d'un elfe et de deux humains ne passe inaperçu. C'est pourquoi je propose de rentrer chacun notre tour, et de se séparer. On n'a qu'à se rejoindre aux portes de la ville. Lorsque le soleil éclairera les montagnes de l'est, nous partirons. Il faut tout de même trouver 3 autres "héros" pour satisfaire votre bon roi, Raliet. Il ne faut pas tarder, car votre dragon ne prendra certainement pas son temps pour déguster votre bonne ville!

-Ça me va, on se rejoins au porte demain, mais je vais dormir chez moi, le temple de ma famille est juste a coté d'ici et je doit lavé mon habit il est tout plein de sang.

Niraiya parti a la course, tout joyeux, il allais en fin voir un dragon et pouvoir vérifié si les mythe qu'il a lu dans l'archive interdite de sa famille sont vrai.

Ayant suivi l'échange de mots en suivant de la tête chaque intervenant, Ketky prit un temps pour analyser ce qu'il devait répondre. Après ce moment, il déclara:

- À propos de écailles de dragons, je crois qu'un nouvel habit fait avec me ferait bien. Pour l'auberge, jamais je n'ai été accepté dans ce genre de place. Je vais dormir derrière dans la ruelle après avoir mangé un peu de lapin.

Il avait pensé pendant un moment demander en quoi consistait "l'Est" mais se dit qu'il laisserais tomber puisqu'il avait bien comprit soleil et montagne, et se dit qu'il n'y en avait qu'un de chaque.
Sur ce, il sortit son lapin et commença à grignoter le plus proprement possible, afin de ne pas offusquer l'elfe.

Laissant le Kobold derrière eux ,les compagnons se dirigèrent vers la taverne. Celle-ci portait la nom de: Vieux couteaux.
- Pas très engageant n'est-ce pas? railla Raliet en entrant.
En ouvrant la porte, une odeur de vin et d'alcool vint lui chatouiller le nez, ainsi qu'une celle d'un porc rôti. Le reste de la compagnie alla s'asseoir à une table près du comptoir. À leur droite, un gros homme avait le nez dans sa coupe de vin et grattait le bois du comptoir. Raliet le regarda avec dégoût, avant de se tourner vers ses compagnons. Il vit que l'elfe Calundel tentait de cacher son visage et ses oreilles.
- Je commande quelque chose? demanda t'il aux autres.
Aucun ne lui répondant, il se leva et s'approcha du comptoir.
- Une bouteille de votre meilleur hydromel! demanda t'il au barman. Celui-ci disparu derrière le comptoir et revint avec une bouteille contenant un liquide doré.
- Ça fera 2 pièces, lui dit le barman en lui tendant la bouteille.
Raliet fouilla ses poches et trouva le petit sac dans lequel il gardait ses pièces. Le roi lui en avait donné beaucoup pour le voyage qu'il devait faire. Au son des pièces, le gros homme se retourna, les yeux et le nez rouge. Il était soûl.
- Voyez-vous ça, un jeune riche parmi nous...
Il ricana d'un rire grave et sonore en se tenant le ventre, puis se leva. Il s'approcha de Raliet en tendant la main. Deux hommes se levèrent derrière lui.
- Allez, minus, donne les pièces à papa....
- Allez, donne-lui le sac, continua l'un des hommes.
Raliet recula, cacha rapidement le sac dans les pans de sa cape.
-Non! Vous n'aurez rien! cracha t'il aux trois soûls.
- Mauvaise idée, petit... dit le gros homme.
Puis, l'attention de celui-ci fût attirée par quelque chose derrière Raliet.
- Un elfe!! Ici!!
L'homme devint rouge et empoigna la bouteille d'hydromel traînant encore sur le comptoir. Il la lança avec force en direction de Raliet, qui se baissa. La bouteille continua sa course et se fracassa sur la table des compagnons. L'hydromel les éclaboussa avec violence.
- Là, vous êtes tous mort! Et toi en premier le petit! Je veux ces pièces!
Et il sortit son épée de son fourreau. Les deux autres hommes derrière lui firent la même chose.
- Allez, venez vous battre si vous l'osez!

Marad regarda la scène se passer, se demandant s'ilo allait intervenir. Quand il fût éclaboussé d'hydromel, une sainte fureur l'anima.

-OH NON ÇA NE VA PAS! VOUS AVEZ GACHÉ MON HABIT! Horribles personnages! Avez-vous seulement idée de qui vous avez insulté par cet odieuse attaque? Je suis Marad Chantespoir, vainqueur de l'arène de Torncifas et grand chasseur d'Allerundyl! Et voilà que vous vous présentez, soudards puants, face à moi, moi qui vaincrai le terrible dragon dans quelques jours seulement?!? Alors même que je suis accompagné par de valeureux compagnons, eux-même dont les héroïques exploits sont loin d'être négligeable? Vous mériteriez que je vous enlève la vie! Passez votre chemin, pitoyable sac-à-vin, avant que dans ma fureur terrible je ne vous enlève votre pitoyable vie!

Note: À partir de demainet jusqu'à lundi, je donne le parfait contrôle de mon personnage à Gonorth, ne pouvant être présent.

L'homme soûl regarda le barde. Il eut un rire grave en l'entendant lui dire les exploits qu'il avait fait. Et ses compagnons, qui se croyait si fort et si brave.
- Abrutis! Incapables! Z'allez voir qui c'est qui est le plus fort ici!
Faisant signe à ses acolytes, il se jeta sur le barde. Les deux autres s'attaquèrent à l'elfe et a Raliet.
Le gros homme leva son arme et frappa.

Calundel fut attiré par le son de la voix de Raliet qui semblait être sur le point de se faire attaquer par un gros bâtard. Voyant que les choses allaient se corser, il enleva son capuchon, ce qui produisit l'effet voulu. Il se fit remarquer, et cela détourna l'attention du géant, pour un court instant... Voyant qu'il allait se faire attaquer, Calundel parra une épée, banda son arc avec une flèche, visa le plafond au dessus du géant et prononça les mots « Frugrir drut! », ce qui fit entrer des dizaines d'oiseaux dans la taverne qui venaient s'attaquer aux assaillants. Alors, les problèmes des saoulons passèrent à autre chose, devant se débattre pour ne pas se faire picocher les yeux!

Les oiseaux occupant leurs ennemis, Raliet en profita. Il courut et donna un coup de tête en plein ventre de son adversaire. Celui-ci recula sous le choc et heurta l'une des tables. L'une des pattes de la table cassa et le chandelier posé en plein milieu tomba au sol. L'hydromel répandu s'enflamma aussitôt.
Les oiseaux continuaient à entrer dans la taverne et à essayer de crever les yeux des hommes soûls. Raliet regarda autour de lui. Les gens couraient partout autour de lui, et il ne voyait presque plus ses amis.
- Au feuuuu!!!! cria un homme en passant à côté de lui.
En effet, le feu se répandait maintenant aux lattes du parquet et grimpait au mur, détruisant tout. Les gens toussaient, la fumée les étouffants.
- Marad!! Calundel!! cria Raliet en se frayant un chemin dans la foule apeurée.
- Raliet! Il faut sortir d'ici! cria l'elfe de loin.
Le barde étant nulle part en vue, Raliet couru vers la porte. Il fini par retrouver Calundel, qui l'attendait. Lorsque les deux arrivèrent à la porte, il remarquèrent le malheur qui les accablaient.
- Oh non! dit Raliet en toussant.
Le feu leur bloquait la sortie. Il y eu un craquement au dessus de leur tête et des planches tombèrent du plafond. Ils réussirent à se tasser de justesse.
Regardant alentour, Raliet remarqua que la fumée l'empêchait de bien y voir. Il toussa encore, et regarda Calundel.
Ils étaient pris au piège.
- Marad!!! Ketky!!! À l'aide!!!

Le kobold était déjà rendu dans la ruelle dont il avait parlé au groupe, quand il entendu un bruit de fracas. Il n'y fit pas attention, se disant que ce devait être coutume pour des hommes en boisson d'échapper leur choppe. Cependant, il cru entendre Marad crier, ce qui le mit à l'affut. Il se dirigeât discrètement vers la fenêtre la plus proche pour jeter un coup d'œil entre deux sauts (Ben ouais, les fenêtre sont hautes). Il arriva à temps pour voir un gros homme armé se jeter sur son nouvel ami. Ceci le mit en état d'alerte, il saisit la lance dans son dos et se rendit à la porte et regarda par une fente le déroulement des évènements. Il fut totalement surpris lors de l'apparition des oiseaux dans le bâtiment, au point de tomber sur son postérieur. Il se releva et attendit la suite en s'écartant quelque peu, craignant le nombre d'oiseaux.

edit, suite au nouveau message de gonorth;

Puis, quelque chose fit en sorte que l,endroit s'embrase et on l'appela à l'aide. Se sentant responsable vis à vis son titre de héros autoproclamé, il ouvrit la porte et observa l'état de l'intérieur.

(Qu,est-ce que je vois?)

Le barde s'était discrètement éclipsé quand les oiseaux étaient rentrés, se disant que l'elfe semblait fort bien en état de se défendre seul. Il vit Ketky en sortant qu'il salua.

-Vous venez de manquer une petite altercation contre de violents et stupides hommes de taverne. J'ai bien failli les tuer, mais l'elfe s'en est occupé.

C'est environ à ce moment que le feu s'étendit dans la taverne. Et les cris de Raliet retentirent. Marad soupira.

-Je crois que nos amis sont dans une fort fâcheuse position. Comment pourrions-nous les sortir de là? Une idée mon ami?

- Le feu est peut-être encore éteignable, on a pas d'eau, peut-être qu'on peut utiliser une couverte. Ou de la terre, je n,ai pas de couverte.

Sur ces mot, Ketky se pencha et se mit à creuser de ses griffes en lançant la terre vers les flammes les plus proches.

-Loin de moi l'idée de douter de l'intelligence de cette technique, mais je crois qu'elle est fort peu apropriée pour la taille du feu... Je vais appeler nos charmant héros en détresse, pour voir quel est leur problème.

Il s'approcha de la porte de l'auberge.

-Ohé! Vous êtes toujours vivants?

Calundel était au prise avec un homme assez corpulent merci. Il ne s'en fallut que de peu pour qu'il lui transperce le lobe temporal gauche avec son épée. Par chance, son habileté l'avait sauvé! Soudain, le feu embrasa une partie de la taverne, enfummant celle ci. On n'y voyait presque plus rien!Voyant Ketky amenant de la terre pour éteindre le feu, Calundel eu une idée. Malgré les sacrasmes et l'incompétence du satané tueur de minautore il prononça « Terra Bruma! », creusant un gros trou de terre tout près du feu et répandant de la pousière un peu partout dans la pièce, ce qui éteindit le feu, par chance! Cependant, alors qu'on n'y voyait pas plus grand chose, il vit raliet se faire attaquer par derrière :

-Raliet! Derrière toi!!

- Raliet, derrière toi!
Les paroles de l'elfe résonnèrent dans l'esprit du jeune homme, qui se retourna avec vigueur. L'acolyte du gros soûl s'était relevé et s'apprêtait à le transpercer par derrière. Il évita avec adresse le coup, mais glissa sur la terre nouvellement placée sur le feu et s'affala sur le dos. L'homme se pencha au dessus de lui, mais Raliet lui donna un fort coup de pied au genou. Il entendit un craquement et l'homme crier de douleur. Celui-ci tomba à genoux et lâcha son arme.
Raliet se releva avec difficulté et la ramassa. C'était un glaive, bien trop gros pour lui et trop lourd. Il le leva difficilement et l'abaissa, frappa la tête de l'homme du plat de la lame. L'homme retomba au sol, assommé.
Lâchant l'arme, il se retourna vers Calundel. La taverne était encore emplie de fumée, mais ils voyaient déjà un peu mieux. Il toussa et regarda par la porte, voyant Marad et Ketky. Le toit s'affaisa un peu plus loin derrière lui, au fond de la taverne, et lui et Calundel s'apprêtèrent à sortir.

Calundel en avait mare de ce faux héro. Il n'allait certainement laisser ce l¸ache insulter les autres gens qui, eux, c'était défendu au péril de leur vie!

-Toi le faux héro, tu n'est qu'un espèce de lâche! Nous nous sommes fait attaqué, et tout ce que tu as trouvé à dire c'est "Ah non ma merveilleuse tunique!" et tu t'es enfuis par la suite! Non mais, si tu t'es battu comme ça contre le minotaure ce n'est pas parce que tu lui as transpercé le coeur que tu l'a tué, mais bien parce qu'il est mort de rire en te voyant avec ton brin de foin! Sérieusement, si tu es pour faire la lopette devant un simple gros homme, sa va être quoi quand tu vas être devant le Dragon? Espèce d'imposteur! Tu as faillit nous coûter la vie! Si seulement tu avais fait l'effort d'éteindre le feu seulement, mais non tu nous observe de la fenêtre en critiquant les efforts des autres!!

L'elfe était dans tous ses états, et il ne le cacha pas...

Cette attaque verbale avait fait sourciller le barde, mais il avait déjà vu pire.

-Et le feu tu aurais voulu que je chante dessus peut-être? Désolé, mais je suis barde et non pompier. Le luth est beaucoup plus dans mes cordes.

Il sourit à son trait d'humour avant de continuer.

-Mais ne nous énervons pas pour rien. Ces énergumènes était fort peu puissants, et je doute fort qu'ils puissent vous faire un quelconque mal. Je ne vous ai laissé qu'au moment où j'ai vu que vous aviez la situation bien en main. J'aurais pu aider, bien sûr, mais c'est que voyez-vous, j'ai horreur de répandre le sang des hommes, aussi insignifiants soient-ils. Je vous demande pardon pour mon excès d'humanité qui semble être un défaut plutôt qu'une qualité pour vous. Maintenant, veuillez me pardonner, mais je vais me chercher un endroit pour la nuit. Tu vien Ketky? Nous allons nous trouver une magnifique auberge où ne loge aucun énergumène qui tentera d'attenter à notre vie.

À ces mots, Calundel n'ent fut que plus offusqué devant le ton trop familier du raconteurs de bourdes. Il décida de s'en aller de son côté, sous les yeux des autres membres du groupe. Il quitta en direction des portes de la ville, désirant calmer sa colère. Il ne connaissait cet homme que depuis peu, mais son einsteinct lui disait qu'il n'était pas un homme aussi bien qu'il le prétendait. En fait, il était bon pour parler, mais pas pour agir. En somme, il sorti des portes de la villes, Raliet a ses trousses.

Raliet le rattrapa et se tourna vers lui.
- Je vais avec eux... J'ai bien besoin d'une bonne nuit de sommeil... Et... Et... Je le crois, moi..
Il recula, triste de se séparer de son nouvel ami si rapidement. Il avait développé une belle complicité avec l'elfe. Il retourna dans la ville, regardant l'elfe à quelque reprise. Puis, il s'en fût en courant.
Il rejoignit Marad et Ketky qui s'éloignaient déjà. Rendu un peu plus loin, il se retourna et regarda au loin.
- Tu viens avec nous? demanda Marad.
Celui-ci lui posa une main sur l'épaule. Raliet le regarda, des larmes coulant de ses yeux.
- Viens... Laisse le faire. Il est assez grand pour décider par lui-même quel chemin il veut prendre. Je suis content de t'avoir à nos côtés
Ils repartirent. Raliet sentit son coeur se déchirer...

Ketky, tout de même fier d'avoir aidé Calundel à éteindre les flammes, suivit Marad lentement. Il était un peu perturbé par la prise de tête entre les deux individus. Il les avait vu s'éloigner, puis vit Raliet se joindre de nouveau à eux. Afin de changer atmosphère un peu tendue, il demanda:

- Vous croyez vraiment pouvoir me faire autoriser dans une auberge dans la ville? Sinon, prenez une chambre avec une fenêtre pour que j'entre par là. Je n'ai pas besoin de lit.

Raliet trouva l'idée du Kobold intéressante, mais dangereuse. Si l'aubergiste les attrapait à faire entrer quelqu'un dans leur chambre gratuitement, ce serait leur fête. Même un Kobold.
- On peut essayer, dit-il à Ketky. Qu'en pense tu Marad?
Le barde était en train d'observer son reflet dans un miroir qu'il avait sorti de sa poche.
- C'est une bonne idée pour moi. Faudrait juste louer une chambre au premier étage. Le Kobold n'étant pas très grand, ce serait impossible de le hisser de plus haut.
Il éclata de rire, bientôt suivi par Raliet.
- Regardez! Il y en a une là-bas... Raliet pointa du doigt une grande bâtisse en bois, semblable à la taverne qu'ils avaient détruite.
- On y va alors! dit Marad avec enthousiasme.

Calundel n'aimait pas qu'on manque de respect envers les gens, spécialement contre lui-même. Pour lui, si le respect était une chose primordial, la valeur numéro 1. Il voyait clair dans le jeu de Marad, ce lâche. Il n'allait participer à cette quêtre que pour avoir les femmes et la gloire... Il allait inventer une histoire invraissemblable et recueillir tous les honneurs. Pas que les honneurs importait Calundel, mais plutôt parce que ses actes allaient conduire au mensonge, deuxième chose que l'elfe n'aimait pas du tout.

Après le combat dans la taverne et tous les efforts qu'il avait fournit pour protéger ses nouveaux companions, il n'avait pas accepté de se faire tutoyer et rabaisser par l'homminidé. Il ne voulait pas voyager dans ces conditions. C'est pourquoi il décida de quitter le groupe pour se diriger vers la ville la plus proche : Italbourg. Il allait essayer de se reposer et de reprendre ses esprits, tout en cherchant cette chose pour laquelle il avait quitté son peuple il y a déjà si longtemps.

Néanmoins, le souvenir du petit Raliet lui hantait l'esprit. Son roi avait besoin de la réussite de sa mission, et son roi faisait cela pour protéger son peuple des griffes du dragons. Mais comment lui faire comprendre que Marad est un imposteur? Difficile... très difficile. Bref, mieux vallait se taire et continuer son chemin.